Enfermé chez lui depuis des mois pour écrire son nouveau livre-enquête à propos d'un étrangleur d'enfant (Au printemps des monstres, sur le meurtre d'un garçon de 11 ans en 1964, qui a valu à Lucien Léger de passer 41 ans en prison), l’ours Jaenada sort de sa grotte et commente son travail sur la phrase, son noble combat contre les expressions toutes faites (type : “c’est la goutte qui fait déborder le vase”) ou la place de l'argent dans sa vie d'écrivain.